Projection le 05 novembre 2008
Un sexploitation putassier et racoleur, ne reculant devant rien
Empereur par la grâce d’Agrippine, auquel il est attaché par un amour incestueux, Néron donne libre cours à ses plaisirs favoris : la torture, le viol, la luxure. Ainsi, la cour devient un lieu d’orgies et de débauches… où on assiste, médusé, à un spectacle pitoyable, d’une vulgarité sans nom ! Ainsi, toutes les séquences érotiques sont d’une banalité affligeante et on n’aura jamais vu des orgies romaines aussi peu imaginatives et si peu excitantes. Du bon gros cinéma Z. Sans aucune audace réelle, le cinéaste cherche à choquer à peu de frais : sa fameuse séquence de castration en gros plan est d’une telle médiocrité qu’elle ne provoque rien d’autre qu’un éclat de rire. Un film du réalisateur de : “Les rats de Manhattan”, “Virus cannibale”, “Zombie 3”, et autres productions aussi nulles que fauchées !