Projection le 28 décembre 2014
Nanar apocalyptique
vingt ans après un cataclysme nucléaire qui a rendu stériles tous les êtres humains. La situation est donc critique : l’action débute dans un New York dévasté, plus proche d’une banlieue craignos que d’une ville ayant essuyé le feu nucléaire. Ici logent les troupes de l’armée responsable de l’apocalypse : habillées tout de noir et se déplaçant à cheval, elles contrôlent New York et oppriment les rares survivants, sur lesquels leurs équipes de savants mènent des expériences afin de trouver une femme féconde. Ce scénario en vaut un autre, mais le film se distingue d’emblée par une ringardise incroyable de l’action : mal cadré, mal monté, mal joué, «2019» prétend nous impressionner avec des explosions de pétards du 14 juillet et des figurants à l’agitation grotesque.