Voir le trailer de la soirée Gore-Nichon
Jean-Maurice, le créateur et taulier de l'Absurde Séance, a publié ses mémoires !
Anecdotes de vieux briscard passionné de cinéma, réflexions sur le 7e Art, dessous de l'Absurde Séance, … tout ça disponible dans les 270 pages d'un livre édité à compte d'auteur qui aurait pu aussi s'appeler À la poursuite de l'émotion rare.
1991 - United States of America - 2h02 - -12
En copie neuve, un pur film d’action des années 90
Réalisateur(s) : Kathryn Bigelow
Pour retrouver les braqueurs responsables de 26 attaques de banques, Johnny Utah, jeune inspecteur du FBI inexpérimenté et naïf, s’infiltre dans le milieu des surfeurs de Los Angeles.
Point Break est un spectacle visuel chargé à l’adrénaline pure qui nous plonge dans un milieu de mauvais garçons adeptes de sports extrêmes. Accrochez votre ceinture, ça va décoiffer sévère !!!
2016 - Canada - 1h37 - -16
Attention film ultra gore réservé à un public adulte et averti
Réalisateur(s) : Jonathan Straiton
Une bande de jeunes fêtards en vacances s’arrête dans un motel miteux pour s’éclater. Dommage pour eux, une maladie non diagnostiquée se répand et bientôt ils vont se trouver face un sérieux problème… Celui qui contracte cette maladie devient un monstre vicelard et sadique particulièrement porté sur le sexe et terriblement violent.
Vous avez rêvé d’une greffe improbable entre The Sadness et Braindead, ne cherchez plus ! Nous tenons là une série B sanglante complètement délirante, bourrée jusqu’à la gueule de sexe, gore, outrance, violence et autres friandises…
1986 - France / Sweden - 1h50 - -18
Classique du cinéma érotico-pornographique des années 80
Réalisateur(s) : Peter Korber
S’il gèle toujours à pierre fendre au fin fond de la Sibérie, en revanche à Saint Pétersbourg, et plus précisément dans le palais doré de l’impératrice de toutes les Russies, l’atmosphère est pour le moins torride. Il faut dire qu’entre deux parties fines, deux ou trois orgies et la visite régulière d’amants athlétiques, la bouillante souveraine n’a de cesse de transformer ses salons d’honneur en lupanars privés. Aussi lorsqu’un naïf lieutenant, fraîchement dépossédé de ses terres, vient réclamer justice, la Tsarine ne se montre que modérément attentive. Certes les moujiks s’agitent et certaines provinces menacent de se soulever, mais que voulez-vous ? La vie est décidément trop courte pour s’intéresser à ces sottes questions de politiques intérieure. D’autant que déjà fort occupée à soulager sa quasi constante fièvre érotique Catherine II n’a que faire des soubresauts qui agitent son Empire.
Cas presque unique dans l’histoire du cinéma érotique (pornographique ?) Catherine honneur et décadence est un des très rares films adultes à grand spectacle (comparable en cela au Caligula de Tinto Brass). Tout à la fois drame historique (presque) sérieux et film d’exploitation décomplexé, cette superproduction jouit visiblement d’un budget confortable. Pas un bouton de guêtre ou une dorure ne manque aux uniformes ou au plafond de la chambre impériale. Mais soyons honnêtes, moins que le faste du décor ce sont surtout les frasques de notre Tsarine qui retiennent l’attention. En érotomane convaincue la belle consomme, avec un bel entrain, à peu près tout ce qui croise son regard : officiers de belle constitution, dames de compagnie peu farouches, serfs hirsutes et rugueux… Rien ne rebute son appétit insatiable. Certes il serait osé d’affirmer que notre réalisateur a accompli là un travail d’historien irréprochable. Visiblement moins inspiré par les chroniques de l’époque que par l’esprit des bandes dessinées de gare qui faisaient la joie des bidasses et des collégiens des années 70, notre homme signe ici une œuvrette résolument colorée, voire volontiers scabreuse, se permettant tous les excès ou presque. La scène finale risque d’ailleurs de laisser, aujourd’hui encore, plus d’un spectateur pantois.
Étudiants, demandeur d’emploi, moins de 26 ans
À partir de 20 personnes